L'apprentissage, qui "repose sur le principe de l’alternance entre enseignement théorique en centre de formation des apprentis (CFA) et formation au métier chez l’employeur avec lequel l’apprenti a signé son contrat" [2], doit permettre à l'apprenti d'acquérir un savoir-faire et le savoir-être de l'entreprise.
La gouvernance d'entreprise peut être définie comme l'ensemble des dispositions réglant les rapports entre les actionnaires, les dirigeant(e)s et les salarié(e)s [3].
Enfin, il est clair que l'emploi naîtra des entreprises en croissance.
En vue de mobiliser ses salarié(e)s pour soutenir sa croissance, l'entreprise peut les associer au capital [4].
Ainsi, le(la) salarié(e) est
- au quotidien, subordonné(e) au (à la) dirigeant(e) mandataire (ice) de l'entreprise
- lors des assemblées générales, décideur à la hauteur de ses parts.
[1] sur le site de l'Assemblée nationale, la page du député Gilles Le Gendre
[2] sur le site du Ministère du travail, L'apprentissage
[3] on pourrait adjoindre à cet ensemble de parties prenantes l’État, les clients, les fournisseurs,...
[4] une pratique assez répandue dans les startups du numérique
[5] notamment pour les tuteur(ice)s des les jeunes apprenti(e)s codeur(se)s, qui produisent les programmes informatiques sous des rôles de "maîtrise d'ouvrage informatique" ou de "maîtrise d’œuvre informatique".